L’actrice camerounaise souffle sur une bougie de plus ce 10 mars. A cet effet, Cinecamer revient sur le parcours de cette graine de star, pétrie de talent.
Il y a 28 ans naissait venait au monde une étoile dans une localité de la région du Nord-Ouest au Cameroun. Il s’agit de l’actrice, Azah Melvine Awa. Une naissance survenue en plein mois destiné à la célébration de la gent féminine, comme un signe des dieux.
Depuis trois ans, cette jeune actrice fait partie des ambassadeurs de marque du cinéma camerounais. En 2018, elle a fait raisonner l’hymne national du pays de Dikongue Pipa au Burkina Faso en remportant le Prix de la Meilleure actrice d’Afrique Centrale à l’une des plus prestigieuses cérémonies de récompenses du cinéma africain, les Sotigui Aawrds. Ceci, pour son éblouissante performance dans « Rebel Pilgrin » réalisé par Paul Samba et Chinopoh Cosson. Quelques mois plutôt, le même rôle lui a valu le prix de la Meilleure actrice camerounaise à la 22e édition du Festival Ecrans Noirs et Meilleure actrice long-métrages à la première édition des LFC Awards. Ce qui lui a permis d’inscrire son nom en lettres d’or dans les annales du cinéma camerounais.
Ces distinctions lui ont ouvert de nombreuses portes autant sur le plan national qu’à l’international. Malgré son succès, l’ancienne pensionnaire de Ruphinas House of Fame de Bamenda garde les pieds sur terre et continue de se faire former pour impressionner davantage les cinéphiles. Une abnégation au travail qui lui a valu bien d’autres récompenses. A ce jour, elle totalise près d’une dizaine de trophées et a été à l’affiche d’une vingtaine de films et séries.